Il y a quelque chose de magique lorsque les lumières se tamisent, puis s'éteignent et que tout ce qu'on aperçoit est la baguette du chef d'orchestre scintiller sous le projecteur. Et alors, la musique commence, quelques mesures nous emplissent les oreilles et le rideau se lève enfin. Samedi, le rideau s'est levé sur un magnifique tableau d'un temple au cœur de la forêt indienne. Au fil des actes, nous suivons l'histoire d'amour d'une jeune hindoue presque déesse et d'un officier britannique. C'est dans cet opéra que l'on peut entendre le sublime air Duo des fleurs. J'adore l'intensité des sentiments que nous proposent les opéras. Il ne suffit que d'un regard pour tomber à la renverse. À l'opéra on Aime, on Déteste. On Vit , on Meurt.
C'est dans ce tourbillon de sentiments exacerbés, agrémentés de belles mélodies que je me suis laissée emporter samedi.
C'est dans ce tourbillon de sentiments exacerbés, agrémentés de belles mélodies que je me suis laissée emporter samedi.
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J'adore lire ce que vous avez à dire !